Le 17 avril 2005.
FORBACH (Moselle). Altitude : 240 mètres.
Dans un secteur d'anciens baraquements en bois abandonnés à la fin des années 1950 et dont il ne reste que les soubassements en parpaings délabrés. Cet endroit est retourné à l'état sauvage depuis lors. Sous merisiers, avec parfois des cornouillers sanguins, pommiers, peupliers trembles dans d'anciens jardins sur terre sableuse amendée, et d'autres fois avec des charmes et divers arbustes dans une terre sableuse moins modifiée par l'homme. Lors d'échanges avec Philippe CLOWEZ en avril 2010, ce dernier estimait que la Verpe de Bohême était liée au merisier.
Présentation ici d'un spécimen jeune dont le stipe ne s'est pas encore totalement étiré. Ce stipe montre cependant les tigrures blanches horizontales caractéristiques de cette espèce et que ni la Verpe conique, ni les Morilles, ne possèdent.